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On parle souvent assurance et sécurité en tenant compte de ces deux notions qui s’avèrent inséparables.
Pourquoi ? Parce qu’assurance et securite vont toujours ensemble.
Le but de cette première est en effet d’offrir une protection aux personnes ou aux biens, en offrant une contrepartie financière en cas de sinistre, à condition de souscrire bien sûr.
Un contrat comme les autres
Les assurances sont en effet là pour couvrir les risques liés à un certain nombre de pratiques et de situations.
En ayant les bons contrats, on sera sûr d’être en sécurité, et de se faire rembourser en cas de problème.
De ce fait, il est important de souscrire à des assurances dont les contrats sont fiables et qualitatifs, pour éviter les problèmes.
Qu’est-ce qu’un accident de la vie privée ?
Dans le domaine privé, un accident est toute occurrence des éléments suivants :
- à la maison : intoxication alimentaire, brûlure sur un grill, mésaventure de bricolage ou de jardinage, trébuchement dans un escalier, etc.
- Lors d’un exercice physique, d’un voyage, d’une randonnée, d’un soin médical, d’une erreur de diagnostic ou d’une infection nosocomiale, d’une catastrophe naturelle (tempête, avalanche, tremblement de terre), d’une agression ou d’un attentat.
Sont exclus les accidents de la route et les accidents du travail.
À la différence d’une assurance classique, quand cette assurance entre-t-elle en jeu ?
On peut considérer son intérêt par rapport aux différentes assurances que chacun a souscrites.
La principale distinction est que la victime est indemnisée par l’assurance même si la cause de l’accident ne peut être déterminée ou si elle est en faute. La plupart du temps, aucun autre assureur n’intervient.
Elle peut également être utilisée en complément d’autres formes d’assurance (assurance maladie, assurance maladie complémentaire, etc.).
Attention : Il existe fréquemment (mais pas toujours) une restriction d’âge de 64 ans pour les souscriptions.
Quelle indemnisation puis-je attendre de l’assurance accident de la vie ?
Même si un label GAV a spécifié que tous ceux qui s’y réfèrent doivent fournir un niveau minimum de couverture, les contrats varient d’un organisme à l’autre.
Le GAV peut compléter les protections actuelles, comme on l’a déjà noté, mais son intérêt principal n’est pas dans ce potentiel paiement supplémentaire.
En indemnisant l’assuré pour les frais engagés et les préjudices subis, elle permet de se mettre à l’abri des répercussions financières.
L’invalidité permanente, les dommages physiques, les effets sur la vie professionnelle, matérielle et familiale de l’assuré seront tous couverts par l’indemnisation.
Les dépenses de garde d’enfants, d’aide ménagère ou les modifications essentielles du domicile, de la voiture, etc. peuvent également être couvertes.
Un capital sera versé aux héritiers en cas de décès pour couvrir le préjudice moral et financier causé par le décès de l’assuré. Les frais d’obsèques sont fréquemment pris en compte.
Comment est déterminée l’indemnité de l’assurance accident de la vie ?
Les règles d’indemnisation varient en fonction du contrat et des cotisations versées, comme on peut s’y attendre.
Invalidité :
En général, chaque contrat fixe un degré de handicap à partir duquel l’indemnisation sera versée ; le seuil minimum est de 30% pour toutes les personnes ayant la désignation GAV.
De nombreux assureurs ramènent ce taux à 10 ou même 5 %, avec bien sûr une prime plus élevée.
La perte d’un doigt équivaut à 5%, une prothèse de genou à 10%, une jambe entre 25 et 30%, la main droite à 50%, pour donner quelques exemples.
Le contrat ne fixe pas à l’avance le montant de l’indemnisation. L’assureur se base sur la comparabilité des sommes que les tribunaux ont accordées dans des circonstances comparables à celle du sinistre.
Avec un contrat MAIF, un quadragénaire pourrait obtenir un capital de 28.000 euros pour un handicap de 15% (perte d’un pouce) (option niveau 3).
Le décès :
La somme d’argent remise aux héritiers de l’assuré dépend du préjudice affectif et financier que le décès de leur parent a causé.
Son revenu net sera utilisé pour déterminer les difficultés financières des enfants jusqu’à ce qu’ils obtiennent leur diplôme d’études secondaires.
Les mêmes estimations de la Cour d’appel servent de fondement au préjudice moral.
Conclusion : Quel que soit le contrat ou le sinistre couvert, il est impossible de connaître l’indemnité attendue.
Il n’existe qu’un plafond de 1 000 000 d’euros par victime à notre connaissance.
64300 sinistres ont été déclarés en 2014, avec un règlement moyen de 8 612 euros.
Le prix de cette couverture
Bien que le coût de chaque contrat varie, nous pouvons donner une moyenne : les formules « bas de gamme » avec une réduction de 30% coûtent environ 100 euros par an pour une personne seule.
Ce montant passe à environ 150 euros pour une personne seule et 250 euros pour une famille si le prix est augmenté de 5%.
Est-il obligatoire de souscrire ce type d’assurance ?
Son principal intérêt est qu’elle intervient en cas d’accident, qu’il soit de notre fait ou du fait d’un tiers non identifié.
Le coût annuel n’est pas excessif
Examinez les termes du contrat avant de le signer, et n’hésitez pas à utiliser les comparateurs en ligne.
Les indemnités sont déterminées conformément au système juridique, en tenant compte du préjudice économique réel. Les personnes ayant des revenus élevés sont naturellement favorisées par cette formule.
Les personnes âgées peuvent être les individus les plus exposés à ces accidents de la vie, mais elles sont souvent exclues en raison de problèmes liés à l’âge ou reçoivent une indemnisation moindre.
L’indemnisation reste quelque peu ambiguë, et elle favorise les assureurs dont les stratégies pour la limiter sont bien connues.
Il est essentiel d’examiner les couvertures actuelles pour déterminer s’il existe des chevauchements (assurance décès-invalidité, assurance maladie complémentaire, assurance dépendance, carte bancaire).